Les risques de certains sièges enfants sur scooter

Etre accompagnée en scooter

Il suffit de circuler en agglomération pour observer que la fréquence de particuliers qui se transportent en deux-roues se trouver en régulière élévation. Cela semble être donc logique que certains de nous accompagnent leur enfant en classe à l’aide de leur scooter.

Malgré, certains accidents de scooter on dévoilé que la sécurité des enfants transportés n’est pas toujours optimum. A la suite des ces collisions, la Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC) a effectué en coopération avec l’hôpital Necker une enquête portant sur le sujet de la sécurité des enfants transportés à deux roues.

Les matériels de sécurité

La conclusion est la mise en avant de l’inutilité du matériel de sécurité usité révélé lors d’un choc, particulièrement des sièges. La recommandation du projet est d’utiliser un siège bien adapté. Tout est une difficulté de taille. Il convient de veiller à ce que le siège soit suffisamment en hauteur, que les reposes-pieds soient bien paramétrés ainsi que les poignées de maintiens.

Également, à l’instar du conducteur du scooter, il faut équiper l’enfant grâce à du matériel de sécurité approprié. Par conséquent il est indispensable de lui fournir un casque à sa pointure mais de plus un veston avec des protections ainsi que des gants. Pour parfaire votre sécurité, pensez à souscrire une assurance scooter pas cher avec des garanties en rapport avec votre situation personnelle.

De cette enquête est également sorti une faille dans les sièges deux-roues proposés pour les enfants de moins de 5 ans. Ces derniers ne sont pas pourvus d’un équipement de retenue. Cette insuffisance peut être à l’origine d’ accidents grave car lors d’un choc, l’enfant qui se trouve plus haut que le pilote, peut se trouver catapulté en avant.

La CSC entreprend alors de persuader les constructeurs et les autorités dans le but que les futurs productions soient dotés de ce type d’équipement.

Manifestation deux roues motorisés scooter moto

Manifestation des motards

Suite à l’appel de la FFMC pour dénoncer les récentes mesures de sécurité routière (brassard rétro-réfléchissant, plaque élargie…), plusieurs milliers de deux-roues se sont retrouvés dans les rues pour manifester le week-end du 24 et 25 mars 2012.

On a pu dénombrer quelques 15.000 véhicules à Paris et 65.000 en province avec une météo qui a permis à certain de venir de province le 25 pour grossir les rangs parisiens.

Manifestation pour une meilleure sécurité

A cette occasion, la FFMC a tenté de se faire entendre en envoyant des émissaires aux différents QG des campagnes des candidats à la présidence afin de remettre le « manifeste pour une meilleure sécurité routière des deux roues motorisés ».

Pour rappel le gouvernement est actuellement en pleine réflexion sur l’autorisation aux deux-roues de remonter les files et regarde de près ce qui se fait en Belgique.

Contestataires de pv fichés avec ARES

Amélioration des traitement des PV

Officiellement, les contestataires de PV seront mis dans un fichier spécial pour améliorer le traitement des procédures et créer des statistiques.
Le gouvernement veux instaurer le création d’un fichier qui recense toutes personnes qui aura contesté une contravention.

L’arrêté du 20 février 2012 au journal Officiel indique la création de ce fichier qui va traiter de manière automatique des données personnelles. Il s’agit de ARES pour automatisation du registre des entrées et sorties des recours en matière de contravention. Ce fichier sera constitué de toutes les informations personnelles de l’auteur d’une infraction ainsi que celles du propriétaire du véhicule. Ces informations personnelles peuvent aller jusqu’aux données professionnelles.

Une aide pour l’optimisation

Pour faire passer le fichage comme inoffensif, il est déclaré comme aidant dans l’optimisation du traitement des amendes et à des fins statistiques.
Plusieurs associations sont déjà sur le pied de guerre pour lutter contre cette nouvelle attaques aux libertés.